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#violencesconjugales

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L’acteur Pascal Demolon écarté d’un festival en raison d’accusations de violences conjugales

Le comédien a été évincé du jury du festival Ciné citoyen, qui a eu lieu du 18 au 21 juin en Bretagne. Selon les informations de Mediapart, il est visé par une enquête judiciaire pour #ViolencesConjugales, dans le cadre de laquelle trois femmes ont témoigné. «Tout est faux», affirme-t-il.

Par Sarah Brethes › mediapart.fr/journal/france/01

Je découvre le Violentometre (fichier ici par exemple : territoire-de-belfort.gouv.fr/)

Ce superbe outil, à diffuser largement, permet une évaluation objective de la violence au sein d'un couple. Il permet de répondre à des questions compliquées : mon (ou ma) partenaire a-t-il (ou elle) dépassé les bornes ? Suis-je dans une relation toxique et faut-il me protéger ?

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Évidemment c'est la journée mondiale de lutte contre l'homophobie, la biphobie et la transphobie, donc évidemment des lesbiennes biphobes font des stories pour raconter que les bi seraient hétéro (avec les « privilèges » que ça implique, même si le schéma autour de la notion de « privilège » me parle de moins en moins, mais de leur point de vue à elles c'est comme ça que ça fonctionne.)

Encore un jour où on dirait juste que ce qui les intéresse c'est la course à l'oppression et à qui sera la plus grosse victime, ce qui explique pourquoi elles ragent : elles savent qu'elles sont pas en train de la gagner, cette course. (Weird flex, je sais)

Bref, encore un jour où il faut rappeler des chiffres :

Selon un rapport du CDC (l'agence de santé des USA) publié en 2022 sur des chiffres de 2016/2016, au cours de leur vie, les femmes bisexuelles sont :

  • 79,3% à avoir subi des violences conjugales de nature sexuelle (c'est 59,9% chez les lesbiennes et 53,3% chez les hétéros)
  • 45,2% à avoir subi des viols conjugaux (28,4% chez les lesbiennes et 26,1% chez les hétéros)
  • 47,2% à avoir subi une forme de coercition sexuelle (22,9% chez les lesbiennes et 22,7% chez les hétéros)
  • 72% à avoir subi des contacts sexuels non-désirés (54,2% chez les lesbiennes et 46,6% chez les hétéros)
  • 58,1% à avoir subi du harcèlement sexuel dans un lieu public (42,9% chez les lesbiennes et 29% chez les hétéros)

En gros, si on regarde les chiffres, le privilège hétéro des femmes bisexuelles s'exprime de la manière suivante : Elles sont de manière consistante deux fois plus nombreuses à subir des violences sexuelles que les femmes hétéro, et globalement un tiers plus nombreuses que les lesbiennes à en subir.

Faute de places, des femmes victimes de violences conjugales sont renvoyées chez elles

L’association Itinéraires, à #Caen, qui oriente des victimes de #ViolencesConjugales vers des structures adaptées, s’alarme de ne plus pouvoir faire son travail. La première semaine d’avril, elle a dû refuser cinq femmes. La directrice du 115 confirme cette tension.

Par @faizazermediapart.fr/journal/france/15

🚨Solidarité contre les violences intrafamiliales🚨

Chaque année, 373 000 femmes et 200 000 enfants sont victimes de violences en France. Les centres de santé sexuelle jouent un rôle crucial, offrant écoute et soutien aux victimes.

En 2022, 20% des entretiens ont permis de détecter des violences. Mais ces centres sont menacés de fermeture sans soutien financier.

💡Nous demandons une augmentation de 300 000€ pour soutenir ces centres et leurs équipes.

💪Ensemble, protégeons les plus vulnérables et les associations qui les soutiennent.

Continued thread

18 / La précarité économique est un facteur clé des violences conjugales, en particulier les violences économiques. Les femmes seules, souvent mères, sont les plus touchées par la pauvreté croissante et l'isolement. La féminisation de la pauvreté et la violence invisible restent des enjeux majeurs à lutter. #ViolencesConjugales #PrécaritéFéminine